

Récit de voyage
Capture est un condensé non exhaustif de mes nombreux voyages. Ma mère m’en avait donné le virus dans le jeune âge. Ces voyages ont été professionnels et personnels et se sont déroulés sur une période de quarante ans environ. Certains ont eu des rebondissements, dramatiques : accidents mortel de land cruiser au Zimbabwe, empoisonnement avec arrêt cardiaque à Madagascar, sortilèges de sorcier au Nord Cameroun. Ils ont été classés par ordre géographique et non chronologique.
C’est à l’occasion du deuxième confinement Covid‑19, que j’ai décidé d’écrire « Capture ». Pourquoi ce titre ? Parce que capture est le mot définissant le mieux l’épicurisme. Horace, poète épicurien, parle de « Carpe diem », ce qui veut dire « cueille le jour présent ». C’est ce que l’on fait dans un voyage, on capture le temps et l’espace. C’est à l’occasion du deuxième confinement Covid‑19, que j’ai décidé d’écrire « Capture ». Pourquoi ce titre ? Parce que capture est le mot définissant le mieux l’épicurisme. Horace, poète épicurien, parle de « Carpe diem », ce qui veut dire « cueille le jour présent ». C’est ce que l’on fait dans un voyage, on capture le temps et l’espace. Il s’agit là de mon deuxième carnet de voyage, qui fait suite à celui que j’ai écrit lors du premier confinement, « La Dame de Shanghai ». À cette occasion, j’ai réalisé que j’étais né dans le voyage au hasard de la deuxième guerre mondiale.