Essai
INM - Protocoles efficaces de prévention et de soin pour la médecine personnalisée et la santé durable
Sous la direction de Grégory NINOT
23,70 €
Les progrès dans le repérage précoce des maladies et des signes de fragilité associés à la demande de services de santé plus efficaces et plus personnalisés imposaient une clarification. Si les médicaments se perfectionnaient continuellement avec l’appui d’un cadre d’évaluation standardisé, l’hétérogénéité des manières d’évaluer les services de prévention, de soin et d’aide à l’autonomie freinait leur développement scientifique, leur qualification juridique, leur déploiement, leur valorisation économique et leur reconnaissance. Ces solutions pouvaient être dégradées, secondarisées ou assimilées à des pratiques pseudoscientifiques.
Ce livre s’adresse à toutes et à tous. Il résulte d’un travail collaboratif initié en 2011 et structuré depuis 2021 au sein d’une société savante internationale d’intérêt général, la NPIS. Il s’intéresse à un sujet complexe, l’amélioration des protocoles de prévention, de soin et d’aide à l’autonomie, autrement dit des services immatériels de santé personnalisés et ciblés. Il s’inscrit dans les plans des autorités et des agences nationales, européennes et internationales ambitionnant d’améliorer la longévité en bonne santé d’ici 2030. Il facilite l’identification par la recherche et la reconnaissance de solutions efficaces et reproductibles pour résoudre les problèmes de santé détectés de plus en plus précocement par la médecine de précision.
Essai
Fiche technique
- Auteur
- Sous la direction de Grégory NINOT
- Collection
- Les Guide de la NPIS
- Date de parution
- 20 Novembre 2024
- Nombre de pages
- 242 pages
- Format
- 142 x 205 mm
Les progrès dans le repérage précoce des maladies et des signes de fragilité associés à la demande de services de santé plus efficaces et plus personnalisés imposaient une clarification. Si les médicaments se perfectionnaient continuellement avec l’appui d’un cadre d’évaluation standardisé, l’hétérogénéité des manières d’évaluer les services de prévention, de soin et d’aide à l’autonomie freinait leur développement scientifique, leur qualification juridique, leur déploiement, leur valorisation économique et leur reconnaissance. Ces solutions pouvaient être dégradées, secondarisées ou assimilées à des pratiques pseudoscientifiques.